Les études de Guilhem Mansion (2004, 2007) sur le genre Centaurium, à la suite de Louis Zeltner (1967), ont grandement montré sa diversité et son hétérogénéité. Ainsi, le groupe de Centaurium dont fait partie le taxon appelé Centaurium spicatum, avec une inflorescence unipare à fleurs sessiles, peut être considéré comme un groupe évolutif bien identifiable. D'où le choix de ce chercheur de considérer ce groupe comme un genre à part (Schenkia).
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